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Poésie du coeur

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Poésie du coeur
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24 juin 2014

Fermé

Bonjour à tous

 

J'ai clairement abandonné ce blog et je n'ai pas envie de laisser en ligne quelque chose qui ne me lait plus vraiment, ou qui ne me représente pas vraiment. J'ai décidé de mettre tous les messages en privé sauf celui-ci.

Bonne continuations à tous ceux qui passeraient par hasard dans le coin

Yume

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7 mai 2013

Actu dans les rédac's

Bonjour !

 

Hier et aujourd'hui, mini-rentrée de deux jours uniquement, ce qui a tout de même laissé le temps aux prof de nous rendre nos contrôles (ainsi que de nous en faire d'autre, mais c'est une autre histoire) et lorsque notre rédaction d'espagnol a été rendue, j'ai eu une exellente surprise au point que j'ai voulu vous en parler.

Il nous était demandé de retranscrire le conte "Blanche-neige" en espagnol et d'en inventer une nouvelle fin, à partir du sommeil éternel de notre belle [ce qui n'est pas forcément un avantage vu ce que ça lui apporte, dirions-nous] princesse. Jusque là rien de très palpitant, ma fin n'étant pas extraordinaire, je ne l'aborderais pas.

Non ce que j'ai trouvé génial, c'est une fin qui, selon la prof, est revenue régulièrement au point qu'elle nous demande si on s'était concertés. Une fin qui va très bien avec l'actualité et qui me plait beaucoup, une fin qui est :

"le prince ne pu jamais réveiller blanche-neige car celle-ci était lesbienne et ne pouvait être réveillée que par le baiser d'amour d'une femme"

Moi j'ai adoré ! Si l'homosexualité était intégrée aux contes elle serait surement plus acceptée ! ça donne des idées, blogueuses à plume, non ? 

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Bon long Week-end !

Yume

 

13 avril 2013

Lecture : le monde de Charlie

Bonjour !

 

Aujourd'hui je voulais vous parler un peu bouquin. J'ai reçu "Le monde de Charlie" de Stephen CHOBSKY pour mon anniversaire, j'étais super contente parce que je mourrais d'envie de le lire.

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Franchement, j'ai adoré ! Et puis, on se sent comme intégré dans l'histoire car les livre est en fait une suite de lettres de Charlie envoyées anonymement à quelqu'un [donc nous], sans son adresse et sans son vrai nom. On se sent ainsi comme si on était vraiment son confident.

Il s'agit de sa vie de garçon relativement perdu, très sensible, assez seul. Un garçon qui va découvrir d'autres "anormaux" ["Viens, on reste entre tarés" - Sam] et se cette manière découvrir la vie d'une autre façon. Mois passive, plus impliquée. Parce que Charlie aime, il espère, il soutient les désirs d'autrui mais il ignore les siens, il ne lui importe que ceux des autres

On se prend très vite d'affection pour ce garçon à l'ouest, qui ne comprend pas vraiment les réactions des autres et qui lui-même n'ose jamais réagir. Et puis finalement, très doucement, sans qu'on s'en rendre compte, Charlie va devenir vivant. Il va devenir vivant en découvrant ce qui le tuait de l'intérieur.

Je m'arrête là, c'est court mais je ne voudrais dévoiler quoi que ce soit à quelqu'un qui voudrait le lire.

Je vous laisse avec la chanson préférée de Charlie : 

 

Bonne journée / soirée / matinée / nuit

Yume

10 avril 2013

Signatures

Bonjour !

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Je me disais, c'est fou cette sensation qu'on a avant de signer un document important ! Tout à l'heure je me faisais recenser et j'ai dû signer des papiers que je garderais à vie... De la même façon que pour le Brevet ou autre, j'ai ce moment de stress : "Et si je ratais ma signature ?" "Et si le crayon marchait mal et me faisait un truc tout moche ?"

J'avais l'impression de faire un truc supra-important, avec des conséquences énormes... Limite envie de demander "S'il vous plait, je pourrais avoir un papier pour m'entraîner ?"

Parce que cette signature, c'est... quelque chose qui nous suivra toute notre vie, qui nous représente en quelque sorte. Je me souviens quand on la "créé" On hésite, est-ce que je mets mes initiales ? La première lettre de mon prénom puis mon nom complet ? On ajoute volontairement des gribouillis difformes pour faire comme nos parents.

Finalement cette signature va se faire d'elle même, à partir de cette base enfantine, avec le temps et l'habitude les gribouillis se forment tous seuls. On en est presque fiers. Et puis vient un jour où on a notre signature, elle ne varie plus et on sait qu'on ne la changera plus. Elle est déterminée, et, alors, on la confirme, la valide en signant un document officiel. Une fois fait, la signature est fixée, et c'est la nôtre.

Ma signature c’est une partie de moi en j’en suis fière. Alors c’est assurée que j’ai signé ces documents, et c’est avec fierté que j’ai officialisée ma signature.

 

Yume

1 avril 2013

Le pire c'est l'oubli.

Bonjour !

 

Un article HS par rapport au blog, c'est au sujet de ce qui m'émeut le plus dans les histoires : l'oubli.

Je suis plutôt affectée par la mort etcetera [grosse minimisation quand même, j'ai honte] mais ce qui me fait pleurer à [presque] tous les coups c'est quand... comment dire, pas de l'amnésie en soi mais quand une personne disparait de la mémoire d'une autre.

Pour donner un exemple, prenons Harry Potter [haha, comment ça on s'en doutait ?] Hermione fait oublier sa propre existence à ses parents pour les protéger. C'est atroce non ? J’ai d'autres exemples mais c'est des mangas donc je ne pense pas que vous connaissiez. Je trouve ça horrible quand une personne se trouve face a un être cher qui n'a plus aucun souvenir de lui.

Cette personne avec qui on a partagé tant de chose qui ne nous remarque plus dans la rue, qui se demandera "mais c'est qui ça ?" en voyant notre numéro de téléphone sur son portable. 

J’imagine ma meilleure amie [après Harry Potter, je parle de ma meilleure amie, je radote non ?] qui ne se souviens plus de moi. Brrr, alors que dès que je la voie j'oublis mes problèmes, imaginez ne plus pouvoir lui adresser la parole sans passer pour une psychopathe ? Ou même, généralement les gens ont des raisons pour effacer la mémoire de leur proche : leur sécurité, leur santé mentale, leur éviter un choix Cornélien,... alors revenir vers eux est interdit.

Ouais, ça me traumatise [cette fois j'exagère hihi] je suis le genre de fille qui s'attache très difficilement, mais quand je suis attachée ce n’est pas une amitié de pacotille. Alors perdre quelqu'un comme ça c'est affreux.

Voila le moment du film où Hermione efface les souvenirs de ses parents. Pour ceux qui ne connaissent pas ou vaguement : Hermione est née de parents non sorciers, des Moldus. Le journal indique que les familles de "Moldus" sont asassinés. Elle leur efface la mémoire et les envoit en Australie pour les éloigner de la guerre. 

 

 

Sniiiif !

 

Bisous !

Yume

 

PS : ça me fait penser à ce que m'a un jour dit ma [fameuse] meilleure amie à propos de sa grand-mère juste décedée : " Ma grand-mère était une femme tellement extraordinaire ! moi je le sais et je ne veux jamais l'oublier mais j'ai peur que, plus tard, quand je serais morte aussi, personne ne se souvienne d'elle, alors je parlerais d'elle à mes enfants, Pour qu'elle ne soit pas oubliée." Elle m'a aussi dit que ça la chagrinait de se dire qu'elle aussi serait oubliée, comme si elle n'avais jamais existée. Elle a dit qu'elle aimerait faire quelque chose qui permettrait à son nom d'être quelque part, même peu connu, mais persistant. Moi ce n'est pas ça qui m'inquiète, une fois morte ça m'importera peu, ce qui me chagrine c'est se souvenir d'une personne qui ne se souvient plus de moi.

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21 mars 2013

Courir

Bonjour,

Un petit texte écrit à l'instant. je tiens à préciser que "Ha-fu-fu" représent l'inspiration et la double expiration.

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source

 

Courir.

Je râle un peu, par anticipation. J’ai la flemme. J’enfile cette tenue atroce, celle dans laquelle j’espère ne pas être vue.  Avec lassitude, je m’assois afin d’enfiler mes baskets. J’aime porter ces chaussures, elles sont agréables, elles m’accompagnent dans ma course.

Finalement je me lève, je sors de chez moi, lentement, pour retarder ce moment où je prendrai le départ. Ça y est. Je suis prête. J’inspire profondément pour me donner du courage et je me lance. Doucement. Une foulée, puis une autre, je sens mes chaussures épouser le sol et me propulser, elles m’encouragent, m’aident. Des millions de pensées tourbillonnent dans ma tête, mes problèmes me harcèlent, je croule sous mes devoirs. Je dois, je dois, je dois. Cette masse de préoccupations me lance le crâne, je serre les dents et accélère le rythme. Mon regard se fixe droit devant moi et je cours. Je cours et c’est tout. Je pense à ma respiration, je me concentre sur son rythme. Inspire – expire – expire. Inspire – expire – expire. Mon esprit se vide. - ha - fu –fu. Ma tête s’allège. Ha - fu – fu. Je me redresse. Le monde qui m’entoure n’existe plus, mes yeux voient mais ne regardent pas. Je me vide de toute pensée, de tout stress, de toute inquiétude, de toute colère. Plus rien n’existe autre que cette mélodie envoûtante. Ha - fu  - fu. Le paysage défile mais je n’y fais pas attention. Je ne prête plus attention à rien. Je retrouverai le monde tout à l’heure, alors je profite de ce répit, ce moment sans soucis et je souris. Je suis détendue. Il n’y a plus de « je dois », il n’y a que « je veux » et je veux courir. Je veux courir jusqu’à m’épuiser et n’en être plus capable.

 Alors je m’arrêterai, toujours souriante et je marcherai pour rentrer chez moi. J’admirerai ce paysage qui m’indiffère actuellement. Je m’extasierai devant la Loire et devant ces jolies maisons, puis je rentrerai chez moi. Alors, toutes mes pensées reviendront et je devrai les porter à nouveau. Mais pas maintenant, maintenant je cours et mon esprit est léger. Maintenant je cours et je souris.

 

Merci d'avoir lu.

à toute celles qui veulent perdre avant l'été, j'espère que ce texte vous motivera à courir !

Yume ♫

16 mars 2013

Pourquoi ce silence ?

Hello everyone !

 

Bon, que j'explique pourquoi je ne donne pas de nouvelle :

 

Voilà, il se trouve que j'écris des poèmes quand je suis triste donc mes poèmes sont triste, donc mon blog est déprimant.

C'est horrible, moi je suis une fille joyeuse vous savez, j'adore m'amuser tout ça, mais tout le monde a des coups de blues, des périodes tristes... ben moi aussi, et j'écris des poèmes. Je suis absolument incapable d'écrire un poème joyeux. [J'ai déjà essayé hein, ça a donné un truc nuuuuul !]

Du coup, moi et ma bonne humeur on est terriblement frustrés. Parce que des fois on a envie de dire des choses, d'écrire un article "humeur" puis on se souvient que ce blog s'appelle "poésie du coeur" et que du coup nos papotages ne seraient pas vraiment à leur place... On est frustrés aussi parce qu'on voudrait que notre blog soit un petit moment de plaisir pour les lecteurs, qu'ils se disent "Oh, un article de yume, je vais bouquiner ça tranquillement". et qu'est-ce qu'ils se disent vraiment les lecteurs ? Ben on imagine un truc du genre "Oh, Yume a posté un poème... c'est joli ce qu'elle fait [on va dire que vous vous dites ça, s'il vous plait hihihi, c'est pour mon égo] mais ça va encore être un truc déprimant... bon, je vais le lire et puis écouter une musique joyeuse après pour me remonter le moral" tiens ! en parlant de musique... nan, je sors du sujet là. Bref, mon blog file un sacré coup de blues à qui a le courage de le lire.

C'est pour ça que j'ai arrêté de mettre des poèmes, en plus j'ai presque écoulé mon stock de poèmes postables sur le net, les autres ils sont trop explicites sur des choses que je veux garder pour moi ou ils partent un peu dans le mélo alors je les aime bien mais j'aurais honte si quelqu'un les lisait.

Alors j'ai pensé à créer un autre blog ou je partagerais des trucs bien inutiles et légers, qui ne plombent pas le moral, puis j'ai eu peur de ne pas avoir de choses intéressantes à dire. [oui parce qu'on peut dire quelque chose d'inutile et d'intéressant à la fois... ou ni l'un ni l'autre mais au moins drôle.] Donc je suis passé en silence radio : ni de poèmes triste, ni de textes inutiles mais joyeux.

En fait, je ne me suis toujours pas décidée alors j'explique au moins pour les courageux qui acceptaient une soirée de déprime pour me donner leur avis ^^.

 

bisous je vous aime mes courageux !

Yume

 

31 janvier 2013

L'enfer

Bonjour !

Et oui j'en ai mit du temps mais il y a des poèmes que j'hésite beaucoup à partager, celui-là n'en fait pas parti, je l'avais juste perdu et je viens de le retrouver entre deux vêtements (technique de camouflage averée, je ne le retrouve plus moi-même !).

 

Un poème qui n'a rien à voir avec ma vie, sans message particulier, juste une inspiration subite :

 

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photo de etipuf

En enfer sans toi :

 

je suis en Enfer.

Lieu où tout est ephemère.

Tout sauf toi.

Tu hantes mon esprit,

t'incrustes dans mes nuits.

C'est donc ça ma torture.

Me souvenir de toi,

si gentille et si pure

que jamais tu ne me rejoindras.

Dans cet enfer où j'expie mes pechers.

Peut-être un jour me pardonnera-t-on de t'avoir aimé.

 


ça me donne envie d'écrire le point de vue de la femme. Peut-être bientôt.

 

Désolée pour cette longue période sans nouvelle, je ne pourrais jamais donner ma fréquence de publication,

Yume

10 décembre 2012

Le vent

Bonjour !

 

j'adore le vent, je le trouve expressif, passionnant, fort, mystérieux et beau. Alors, quand le vent a soufflé chez moi, je me suis d'abord empressée d'ouvrir la fenêtre pour le voir et l'écouter, puis j'ai écrit un poème. J'en suis plutôt fière de celui-là. 

Je n'ai pas grand commentaire à ajouter au poème autre que j'admire les tempêtes, dommage qu'elle puissent être devastatrices. 

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Source

Le vent :

 

Le vent.

Indomptable et violent,

Il hurle sa colère,

Ne se laisse pas faire.

 

De son souffle puissant,

Il berce comme il secoue.

Il est chaque sentiment,

Qui dort au fond de nous.

 

Tempête il se déchaîne,

Laisse parler sa haine,

Ou peut être sa tristesse,

Qui chaque instant nous blesse,

Comme ses assauts glacés,

Qui nous font frissonner.

 

Parfois il est doux,

Et moi sans réfléchir,

Je m’empresse de sortir,

Et ainsi ressentir,

Son souffle dans mon cou.

 

Et sa mélancolie,

M’attire doucement vers lui,

Irrémédiablement,

Mon cœur me mène au vent.

 

Car peu importe son humeur,

Qu’il soit calme, violent ou joueur,

Il me fascine, il me captive,

Je voudrais être si expressive

 

J'espère que ça vous a plu, et vive les éléments (j'ai un poème du même style avec la pluie) 

 merci pour la lecture, et dites-moi quel(s) élément(s) vous fascine(nt) !

2 décembre 2012

Séparation, encore

Bonjour !

Et oui ça fait longtemps que je n'ai pas partagé de poème, je sais ! C'est parce qu'à chaque fois que j'en avais l'intention, j'hésitais entre plusieur poème, ne sachant pas si ils étaient intéressants ou non, et finalement je me disait "raaaaaaah, ils sont tous nuuuuls !". Crise existentielle quoi. Puis je me suis dit que bon, je les aime bien mes poèmes, j'ai juste peur que VOUS, chers lecteurs, vous les trouviez trop triste, trop communs, trop ennuyeux, trop TOUT [ou pas assez, que sais-je] quoi ! Finalement, j'ai réalisé [révélation !] que si je ne les exposait pas au regards des autres [C'est à dire vous] et bien, il ne risquaient pas d'être appreciés, n'est ce pas ?

 

Alors nous voilà repartis avec un poème sur la séparation.

Je l'ai écrit suite à la séparation de mon père et ma belle-mère, et non de mes parents, même si en le relisant je pense que ça peut aussi entrer dans la situation d'une séparation parentale.

Il a été écrit fin juillet, quelque jours après que mon père m'ai anoncé la séparation, je ne vais pas m'étaler parce que j'écris déjà beaucoup trop ma vie dans ce blog mais, en gros, suite au divorce de mes parents et au départ de mon frère [ah, le grand garçon s'en va vivre sa vie ^^] ça m'a fait énormément de bien de retrouver un famille avec ma belle-mère, ma demi-soeur de laquelle je suis très proche et mon demi-frère. On passait noël ensemble, partait en vacances en famille et je confiais énormément de chose à ma demi-soeur [je ne peux pas dire tout parce que je suis incapable de tout confier sur moi]. Bref, en quittant ma belle mère, mon père m'a fait perdre une deuxième fois ma famille et je lui en voulait beaucoup. Vraiment. Alors, comme à chaque fois que j'éprouve des sentiments forts, autre que le bonheur qui ne m'inspire malheureusement pas, j'ai écris :

 

Mon-enfant-divorce_article_mainSource

Je me suis tu,

Je n’ai pas su,

Je n’ai pas pu

Je ne peux plus.

 

Je le garde pour moi,

Je ne t’en parle pas,

Je n’y arrive pas,

C’est comme ça.

 

Je suis déçue,

Je n’ai pas cru,

Je ne te crois plus

Depuis quand me mens-tu ?

 

Penses-tu à elle ?

A votre amour mutuel ?

N’était-ce pour toi qu’artificiel ?

Une affection superficielle ?

 

L’aurais-tu déjà oublié ?

Malgré ce que vous avez partagé ?

Mon cœur que vous avez fait espérer

Et qu’ensuite tu as brisé.

 

Je ne sais plus quoi penser,

Je ne sais plus qui écouter.

A Qui parler ?

A qui se confier ?

 

  Le poème est plutôt confu mais je me sentais trahie, pour moi et mon illusion de famille et pour ma belle-mère. maintenant ça va mieux, surtout que j'ai revu ma demi-soeur quand même et, summum, mon père revoit ma belle-mère depuis deux jours, bon ça n'est pas encore solide mais j'ai bon espoir. Et puis si mon espoir ne se réalise pas, ça vous fera un poème ;).

J'espère que vous avez apprecié, et dans tous les cas laissez-moi un petit mot, si c'est un compliment ça me rend heureuse et si c'est une critique, ça m'aide à m'améliorer. Tant que c'est dit dans la politesse ça ne me vexe pas ;)

Je vous souhaite bien du bonheur en amour,

yume

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